INVESTIR DANS UNE FORÊT : UNE ÉPARGNE VERTE TOURNÉE VERS L'AVENIR

Placement financier méconnu, la forêt néo-zélandaise peut être un excellent moyen de diversifier votre épargne. Un investissement dans une forêt a en effet de nombreux avantages sur le long terme. Investir dans les arbres peut vous offrir des retours sur investissement attractifs (autour de 8%), de façon durable. Un investissement vert porteur de sens, en faveur des futures générations.

 

Pourquoi investir dans une forêt ?

Un investissement dans une forêt est un investissement tourné vers l’avenir. Que ce soit pour épargner pour votre retraite ou pour sécuriser de l’argent pour vos enfants et petits-enfants, la forêt est un investissement responsable, durable, sur le long terme. C’est également une excellente façon de diversifier votre portefeuille dans un investissement lié au patrimoine naturel de la Nouvelle-Zélande et enraciné dans la terre.

En plantant des terres, vous contribuez à la lutte contre le changement climatique. Par ailleurs, le bois est une ressource renouvelable. Les forêts sont plantées, gérées et exploitées jusqu’à la récolte (cycle de 28 ans en moyenne) en suivant des normes et des pratiques reconnues internationalement. Lorsque les jeunes arbres sont plantés, il faut attendre 26 à 28 ans pour obtenir les premiers retours sur investissement. Après la première récolte, les parcelles sont replantées pour de prochaines rotations, ou vendues.

Lorsque vous investissez dans une forêt, vous êtes propriétaire du sol et des arbres le temps d’une rotation de plantations. A la fin de l’abattage du bois, si le terrain est vendu, les investisseurs reçoivent une partie de la vente. S’il y a une plus-value réalisée au moment de la vente, les investisseurs en bénéficient.

 

Une filière moderne et extrêmement organisée

La filière bois en Nouvelle-Zélande est extrêmement bien organisée et professionnelle. La Nouvelle-Zélande est leader sur le marché de la production de bois, de la transformation du bois et de son export. Les infrastructures de la filière bois sont modernes et facilitent l’exportation à l’étranger de plus de 70% des volumes produits.

 

Des conditions parfaites pour produire du bois

En raison des conditions climatiques et géologiques très favorables, les forêts néo-zélandaises connaissent la croissance la plus rapide au monde avec près de 750 à 800 m3 de bois par hectare et par an. Le bois néo-zélandais croit 2 fois plus vite qu’aux Etats-Unis et 5 fois plus vite qu’en Europe. En outre, sans intrants artificiels ou pétrochimiques, la production reste constante même après 3 ou 4 rotations, garantissant ainsi un revenu stable pour les investisseurs.

 

Des forêts de pins Radiata

pin radiata fantail

À partir 20ème siècle, la sylviculture se concentre en majorité sur des plantations d’essences à croissance rapide. Les parcelles plantées sont taillées et gérées afin de produire un bois de haute qualité.

Le pin Radiata représente aujourd’hui 90% des forêts commerciales en Nouvelle-Zélande en raison de la qualité du bois et de sa capacité de croissance très rapide.

 

Quelles sont les opportunités du moment ?

Bonne nouvelle ! Les investissements dans les forêts permettent aux investisseurs non-résidents d’acheter jusqu’à 25% des unités. De nombreux investisseurs originaires d’Allemagne, de Suisse, d’Autriche et des Etats-Unis ont déjà investi dans les forêts en Nouvelle-Zélande.

Il est possible en ce moment d’investir dans 2 domaines forestiers différents dans la région de Masterton, au nord de Wellington (sur l’Ile Nord), par l’intermediaire d’une entreprise agréé par l'autorité de régulation des marchés financiers et bénéficiant d’une licence pour gérer de facon professionnelle des projets d'investissement forestier. Il s’agit de la deuxième rotation de pin radiata, gérée et cultivée par la même compagnie. Ces parcelles, autrefois agricoles, ont été converties en forets commerciales de pin radiata dans les années 1980.

Depuis plus de 47 ans, cette compagnie gère près de 20 000 hectares de forêts dans l’Ile du Nord pour une valeur de $ 450 Millions et a déjà accompagné plus de 6 500 investisseurs à développer leur portefolio.

Dans un premier temps, vous ne réglez que l’achat des jeunes arbres et du sol. Il faut ensuite chaque année régler les frais de management et d’entretien de la forêt. L’investissement minimum est de 200 unités soit $ 22 147 au total (frais de management inclus). Les investisseurs achètent en moyenne entre 430 et 660 unités.

Il faut entre 26 et 29 ans pour avoir un arbre mature. Sur ces 2 parcelles, les premiers arbres ont été plantés il y a 7 ou 8 ans déjà. L’exploitation du bois est prévue entre 2038 et 2045. Les premiers retours sur investissement se feront à partir de 2038.

Les profits sont versés à partir de la première année de coupe du bois. Ainsi, les premiers versements des bénéfices du bois seront versés aux investisseurs vers 2039, sur 5 ans.

 

Quels sont les risques ?

Il n’existe pas d’investissement sans risque. En sylviculture, les risques majeurs sont les incendies, le vent ou une maladie. Les forêts sont protégées par une assurance pour réduire le facteur risque pour les investisseurs. En cas d’incendie par exemple, les investisseurs sont couverts par une assurance couvrant le coût des arbres en fonction de leur cycle de maturité, ainsi que la replantation de la parcelle. Le prix du bois peut également fluctuer, ce qui peut faire varier le retour sur investissement au moment de la coupe du bois. Néanmoins, le temps joue en faveur des investisseurs puisque la coupe du bois se fait sur plusieurs années.  

 

Chiffres clés

·        La production de bois est le troisième secteur d’importation le plus important en Nouvelle-Zélande, après le secteur laitier et le secteur de la viande.

·        La sylviculture représentait $ 3.55 Milliards dans le PIB de la Nouvelle-Zélande : $ 1.39 Milliards provenant de la foret et de la coupe des arbres et $ 2.16 Milliard d’activités annexes

·        Les exportations de bois représentaient 6.93 Milliards en Juin 2019.

·        L’Australie et la Chine sont les principaux marchés pour le bois néo-zélandais.

·        Le secteur de la sylviculture emploie plus de 20 000 personnes en Nouvelle-Zélande

·        En 1989, la sylviculture produisait 10 millions de mètre cubes de bois. Elle en produit aujourd’hui plus de 28 Millions par an.

·        Les forêts néo-zélandaises représentent l’équivalent de 283 millions de tonnes de CO2, soit l’équivalent de 13 jours de consommation d’hydrocarbures dans le monde.

Source: New Zealand Forest Owners Association, New Zealand Plantation Forest Industry Facts & Figures 2018/2019