WHV

VRAI / FAUX : TOUT CE QU'IL FAUT SAVOIR SUR LE WORKING HOLIDAY VISA

Très populaire auprès des jeunes souhaitant vivre une expérience d’expatriation en Nouvelle-Zélande, le Working Holiday Visa (WHV) est souvent source de questionnements ! Quelles conditions faut-il respecter ? Pour qui ce visa est-il accessible ? Combien cela coûte t’il ? New Zealand Services vous dit tout sur ce visa, aussi connu sous le nom de Permis Vacances Travail (PVT) !

 

Le PVT en Nouvelle-Zélande dure 12 mois.

VRAI. Dès réception de votre visa par email, vous avez 12 mois pour entrer sur le territoire néo-zélandais. Le jour de votre arrivée en Nouvelle-Zélande, au passage de l'immigration, votre visa prendra effet pour une validité de 12 mois. Vous pourrez ensuite entrer et sortir du territoire néo-zélandais autant de fois que vous le souhaitez, dans la limite de validité de votre visa. Les français ont la chance de se voir accorder chaque année un nombre illimité de visa !

 

Quelle que soit ma nationalité, je suis éligible au Working Holiday Visa.

FAUX. 46 pays ont signé un programme de WHV avec la Nouvelle-Zélande. La France, la Belgique et depuis Avril 2017 le Luxembourg, en font partie ! Pour vérifier si votre pays fait bien partie de la liste des pays ayant signé un accord avec la Nouvelle-Zélande, rendez-vous sur le site de l’immigration.

 

La France bénéficie d’un quota illimité de Permis Vacances Travail.

VRAI. Chaque pays négocie des conditions d’utilisation différentes pour ses ressortissants. Pour la France et la Belgique, le nombre de visas accordé est illimité alors que le Luxembourg dispose d’un quota annuel de 50 WHV (seuls 39 visas ont été délivrés l’année dernière).

 

Je peux étudier jusqu’à 6 mois avec mon Working Holiday Visa.

VRAI. Le Working Holiday Visa offre la possibilité d’étudier ou de réaliser un stage en Nouvelle-Zélande. Cependant, le PVT en Nouvelle-Zélande est un visa que l’on ne peut obtenir qu’une fois dans sa vie, il serait donc dommage de l’utiliser uniquement pour ses études. Si vous souhaitez poursuivre vos études ou réaliser un stage en Nouvelle-Zélande, des visas spécifiques à ces statuts existent ! Nous vous invitons à consulter notre article sur le sujet pour en savoir plus.


Je peux repousser la date de mon Working Holiday Visa, si je n’ai pas encore voyagé et que mon visa expire bientôt.

FAUX. Si vous avez obtenu un Working Holiday Visa, vous devez respecter la validité de votre visa et entrer sur le territoire néo-zélandais sous un an à partir de la date d’obtention du visa.

 

Je ne suis pas autorisé à travailler pour tous types d’employeurs.

FAUX. Bonne nouvelle ! Avec un PVT, vous êtes libre de travailler pour un nombre illimité d'employeurs et ce, dans n'importe quel domaine d’activité. Contrairement à ce qu'il est courant d'entendre, vous n'avez pas de contraintes de période d'embauche maximale avec un même employeur. Vous pourriez par exemple travailler 12 mois consécutifs pour la même entreprise pendant votre Working Holiday Visa. Seule contrainte : vous ne pouvez pas signer de contrat à durée indéterminée, mais seulement des contrats de travail n'excédant pas la période de validité de votre Working Holiday Visa.

 

Je peux sponsoriser mon/ma partenaire ou encore mon enfant avec mon Permis Vacances Travail.

FAUX. Le Working Holiday Visa est un visa personnel, vous ne pouvez donc pas en faire bénéficier votre partenaire. Par ailleurs, ne pas avoir d’enfant à charge constitue l’une des conditions à remplir pour être éligible au PVT. Ce visa n’est donc pas adapté pour un projet d’expatriation en famille.

 

J’ai 30 ans, je ne peux plus faire de demande de Permis Vacances Travail.

FAUX. Vous devez avoir entre 18 et 30 ans au moment d’effectuer la demande de PVT. Cela signifie que vous pouvez réaliser cette demande jusqu’à la veille de vos 31 ans. Une fois votre visa en poche, vous disposerez ensuite de douze mois pour entrer sur le territoire néo-zélandais. Par exemple si vous l'obtenez le 1er Janvier 2020, vous aurez jusqu'au 1er Janvier 2021 pour arriver en Nouvelle-Zélande.

 

Posséder une assurance santé pour la durée de mon séjour est obligatoire.

VRAI. Être en possession d’une assurance PVT constitue l’un des critères de l’immigration pour venir en Nouvelle-Zélande. Cela vous évitera également de nombreux tracas et évidemment de perdre de l’argent ! Les polices types couvriront vos bagages contre la perte ou le vol, l'annulation de votre séjour, les frais médicaux, les frais de rapatriement sanitaire, les frais de retour anticipé en cas de maladie ou décès d’un proche, une assistance juridique et la responsabilité civile. 

 

J’ai déjà bénéficié d’un Working Holiday Visa dans un autre pays, je ne peux plus en bénéficier en Nouvelle-Zélande.

FAUX. Le PVT est une manière de découvrir de nombreux pays et il est même courant que les voyageurs utilisent ce visa pour d’autres destinations. Cependant, il ne sera possible de bénéficier du WHV en Nouvelle-Zélande qu’une fois dans votre vie.

 

Une fois arrivé sur le territoire néo-zélandais, je suis limité pour sortir / entrer de nouveau dans le pays.

FAUX. Un autre avantage offert par le PVT : une liberté totale pour voyager ! L’occasion idéale pour découvrir les merveilles accessibles à quelques heures d’avion de la Nouvelle-Zélande : l’Australie, les îles Fidji, la Nouvelle-Calédonie, la Polynésie Française… les destinations de rêve ne manquent pas !

Le Working Holiday Visa coûte 455$NZ, je n’aurais pas d’autres frais.

VRAI & FAUX. Si le visa vous coûtera bien 455$NZ, vous devrez cependant prévoir un budget important pour tous les autres aspects du voyage. Autre obligation à remplir auprès de l’immigration pour entrer sur le territoire : détenir au moins 4,200 NZ$ sur votre compte pour subvenir à vos besoins sur place. Vous devrez également souscrire à une assurance PVT pour couvrir vos éventuels frais de santé ou de rapatriement. Enfin, les billets d’avion représentent un budget important, à ne pas négliger !

 

Passer une visite médicale pour obtenir mon PVT est obligatoire.

FAUX. En principe, il n'est pas nécessaire de passer une visite médicale pour obtenir un Permis Vacances Travail en Nouvelle-Zélande. Cependant, dans certains cas, des examens médicaux complémentaires sont demandés par l'immigration néo-zélandaise, tels que :

  • Une radio des poumons si vous avez vécu plus de 3 mois dans un pays à risque de tuberculose au cours des 5 dernières années (liste des pays où vous avez très peu de chances d'avoir contracté la Tuberculose),

  • Des examens médicaux si vous avez fait état d’une santé fragile lors de votre demande de WHV.

Dans ce cas, vous devrez consulter un médecin agréé répertorié sur la liste du gouvernement néo-zélandais. Ce médecin transmettra lui-même vos résultats aux autorités néo-zélandaises. Le coût de ces examens sera à votre charge.

 

Il est obligatoire de fournir un extrait de casier judiciaire pour un PVT.

FAUX. Il ne vous est pas demandé d'extrait de casier judiciaire dans la demande de votre PVT. Toutefois si votre casier judiciaire n'est pas vierge ou si vous vous êtes déjà vu refuser un visa pour la Nouvelle-Zélande, cela peut compliquer vos démarches pour entrer sur le territoire néo-zélandais et obtenir votre visa. En cas de doute, n'hésitez pas à nous contacter et faire le point avec l'un de nos conseillers. 

 

Je peux venir en Nouvelle-Zélande avec un aller-simple.

VRAI mais… Il est tout de même recommandé d’avoir déjà un billet de retour en cas de contrôle à l’aéroport. Les billets d’avion “open” peuvent s’avérer utiles dans ce genre de situation ! Si vous ne souhaitez pas réserver votre billet de retour, vous pourrez rentrer sur le territoire à condition d’avoir les fonds nécessaires pour payer ce billet d’avion. Attention, les 4,200NZ$ de réserve cités ci-dessus ne doivent pas être utilisés pour financer votre billet retour mais uniquement pour subvenir à vos besoins sur place.

 

Le Working Holiday Visa est un excellent tremplin pour un projet d’expatriation sur le long terme en Nouvelle-Zélande.

VRAI. S’il permet aux candidats de découvrir le pays pendant 12 mois, il offre aussi la possibilité de considérer les autres options de visas au-delà du WHV. Si vous souhaitez rester en Nouvelle-Zélande après votre WHV, il est conseillé de ne pas attendre la fin du visa pour commencer à chercher un emploi dans votre domaine mais au contraire de l’utiliser comme un tremplin. En effet, les employeurs ont besoin d’être certains qu’ils veulent vous garder avant de vous offrir de rester sur un visa plus long. Le WHV vous donne l’opportunité de faire vos preuves et de vous rendre indispensable dans l’entreprise !

 

Vous avez d’autres questions concernant votre projet PVT ? Chaque profil et chaque projet étant différents, vous pouvez nous écrire et nous vous répondrons avec plaisir !

PORTRAIT DE PVTISTE : GABRIEL, UN CHIMISTE A AUCKLAND

Aujourd’hui, New Zealand Services rencontre Gabriel, un PVTiste de 30 ans, expatrié en Nouvelle-Zélande depuis 8 mois. Arrivé tout droit de la belle région des Landes, dans le Sud-Ouest de la France, il nous raconte les origines de son voyage, ses premiers pas au pays des kiwis et ses projets à venir…

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Pourquoi avoir choisi de faire un Permis Vacances Travail ?

Cela faisait 3 ans que je travaillais à Lyon sur une thèse en chimie des matériaux et j’avais comme une envie de changement. Ma partenaire travaillait depuis 3 ans dans une agence de communication et rêvait de vivre une expérience d’expatriation. Nous avions la même envie, au même moment, et on s’est dit « les planètes sont alignées, on se lance ». Quelques mois avant la soutenance de ma thèse, on a commencé à se renseigner sur les possibilités qui s’offraient à nous. Ayant moins de 30 ans, le PVT est rapidement apparu comme LA solution parfaite !

 

Qu’est-ce qui vous a poussé à choisir la Nouvelle-Zélande comme destination ?

Nous voulions absolument un pays anglophone car améliorer notre anglais faisait partie de nos objectifs. Nous avons d’abord pensé à l’Australie mais au même moment nous avons eu de nombreux retours positifs d’amis (ou d’amis d’amis) au sujet de leur expérience en Nouvelle-Zélande. On a commencé à lire beaucoup d’articles sur le pays, à regarder des émissions et on a vite été emballés par la Nouvelle-Zélande. Ses paysages magnifiques, la gentillesse de ses habitants, un pays sûr et en plein essor économique… Beaucoup d’aspects nous ont convaincus que cette destination serait parfaite pour nous !

 

Outre l’anglais, quels étaient les objectifs de cette expatriation ?

En tant que chimiste, l’anglais a vraiment été l’une des motivations premières, c’est un secteur dans lequel il est important de le maîtriser, notamment pour rédiger et comprendre les publications scientifiques.

Après un doctorat en chimie, il est assez fréquent de partir dans un laboratoire à l’étranger pour découvrir une autre manière de travailler et élargir son champ de connaissance. Ayant l’envie de faire carrière en industrie, je savais qu’une expérience à l’étranger sur mon CV serait un vrai plus et me permettrait de me démarquer face aux autres candidats.

Si l’objectif premier était donc professionnel, j’avais aussi une véritable envie de découvrir une autre culture et les paysages merveilleux de ce pays.

 

Cela fait déjà 8 mois que vous êtes en Nouvelle-Zélande, comment s’est déroulée votre arrivée et vos premiers mois ?

Nous avons commencé par faire quelques semaines de HelpX afin de conforter notre anglais dans un cadre « familial » et de vivre avec des locaux. Cela a été une super expérience ! Nous avons rencontré des gens formidables et certains sont même devenus des amis. Cela nous a permis de voyager sur les deux îles, tout en ayant un « pied-à-terre » à chaque étape. Lorsque je me suis senti plus en confiance, j’ai commencé à postuler dans des entreprises de chimie, autour de Wellington car ma partenaire travaillait comme serveuse dans un restaurant de la ville. J’ai obtenu quelques entretiens mais cela n’a pas abouti car il y avait peu d’offres dans cette région et les entreprises ne disposaient pas d’un budget nécessaire pour une création de poste… J’ai élargi mes recherches, notamment à Auckland qui compte énormément d’entreprises susceptibles de m’employer, et j’ai rapidement été sollicité par l’une d’entre elles ! Le processus a été assez rapide et c’est ainsi que nous avons décidé d’emménager à Auckland.

Depuis fin octobre je travaille pour Oceanmax, une entreprise qui commercialise des vernis anti-adhérents pour les hélices de bateaux. Mon rôle : les aider à reproduire la formulation de ce vernis, en utilisant des produits 100% néo-zélandais. Un excellent challenge pour moi !

 

Pouvez-vous nous en dire plus sur votre environnement de travail ? Qu’est-ce qui diffère avec la France ?

Pour faire simple, je dirais qu’on ne peut pas rêver mieux comme cadre de travail ! Même si la durée légale du travail par semaine est (officiellement) plus longue qu’en France (40 heures), la manière de travailler est radicalement différente ! Les kiwis ont la réputation d’être beaucoup plus détendus que nous et cela se ressent au quotidien. Loin du stress, des heures supp’ à n’en plus finir, du management par la terreur… Ici les managers instaurent une véritable relation de confiance avec leurs salariés et font preuve de reconnaissance face à notre travail. Cela me motive encore plus à fournir un travail de qualité et à mener à bien mes missions !

 

La fin de votre PVT approche, quels sont vos projets pour la suite ?

Nous sommes vraiment heureux en Nouvelle-Zélande et notre équilibre vie pro-vie perso nous convient parfaitement… Même si parfois la France nous manque, on a très envie de prolonger l’aventure néo-zélandaise. Je suis actuellement en train d’en discuter avec mes managers et il y a de fortes chances pour que je sois sponsorisé en Work Visa. On croise les doigts !

 

Le schéma du Working Holiday Visa en Nouvelle-Zélande

Le schéma du Working Holiday Visa en Nouvelle-Zélande

La Nouvelle-Zélande a signé plusieurs accords bilatéraux avec différents pays pour permettre à leurs ressortissants d’obtenir un WHV et d’explorer ce merveilleux pays. La Nouvelle-Zélande est l’une des destinations favorites des jeunes voyageurs depuis de nombreuses années. La beauté des paysages, la sécurité offerte par ses centres urbains, la gentillesse et l’accueil des néo-zélandais laissent les voyageurs sous le charme. Les néo-zélandais sont eux-mêmes de grands voyageurs et sont donc très ouverts à toute nouvelle culture ! Pour la saison 2017/2018, 67 633 jeunes de 45 pays différents, âgés de 18 à 35 ans ont bénéficié d’un WHV en Nouvelle-Zélande.

S’assurer en Nouvelle-Zélande, comment ça marche ?

S’assurer en Nouvelle-Zélande, comment ça marche ?

Si vous venez travailler, étudier ou voyager en Nouvelle-Zélande, il est recommandé de souscrire une assurance pour vous prémunir de frais imprévus. Oui mais quelle assurance ? Pour couvrir quoi ?

Voici un petit guide des différents types d’assurances qui pourraient vous être utiles !

Faire du rafting en Nouvelle-Zélande

Faire du rafting en Nouvelle-Zélande

Dans la tête des voyageurs, la destination "Nouvelle-Zélande" est souvent associée aux paysages présentés dans la Trilogie du Seigneur des Anneaux. Mais la Nouvelle-Zélande est bien plus que la Terre du Milieu ! Au-delà de la quête de l’anneau, les opportunités d'aventures et de découvertes sont nombreuses. La Nouvelle-Zélande est par exemple le pays des sports « outdoors » et des activités de plein-air. Grâce aux magnifiques rivières traversant le pays, le rafting en eau vive est l’une des activités phare du pays !

Que mettre dans ses valises pour la Nouvelle-Zélande ?

Que mettre dans ses valises pour la Nouvelle-Zélande ?

Vous allez étudier, voyager ou vivre en Nouvelle-Zélande pour un mois, un an ou plus ? Il est temps pour vous de faire vos valises ! Vous vous demandez s'il y a des choses incontournables que vous devriez emmener ? Pas de panique, nos experts vous conseillent !

C’est souvent à quelques minutes de décoller ou une fois sur place que l’on se rend compte que l’on a oublié quelque chose d’important. Voici donc une liste avec l’essentiel pour voyager et être sûr de ne rien oublier. Ce qui est moins important pourra être acheté sur place.

CARNET DE VOYAGE

CARNET DE VOYAGE

 

Pour Marie, illustratrice et bloggeuse, la Nouvelle-Zélande s’apparente à une destination de rêve où elle compte bien s’installer avec son mari.

Il y a quelques années, elle a passé 6 mois en Working Holiday Visa, à parcourir les routes néo-zélandaises, son appareil photo et son carnet de dessin à la main. 

Le HELP X: Une aventure humaine

Après quelques mois passés à Auckland dans le cadre de leur working holiday visa, il est temps pour Noémie & Romain de tout plaquer pour enfin visiter la VRAIE Nouvelle-Zélande !  Comme une évidence, ils optent pour le « HelpX ».

 

« Bay of Island », notre première étape

Nous y voilà donc, mardi 9 février 2016, nous prenons la route vers Kerikeri, Northland, à 3 heures au Nord d’Auckland.  Nous nous apprêtons à vivre notre première expérience HelpX chez Sue et Murray propriétaires d’une exploitation de myrtilles.

A peine le seuil de leur maison franchi, nous nous sentons directement comme « chez nous ». Leur accueil très chaleureux nous met immédiatement  à l’aise. Nous faisons connaissance pendant que Murray nous fait cuire quelques crêpes malgré notre arrivée tardive. Le deal est simple : nous cueillerons des myrtilles chaque jour de 8 à 12 heures, sauf le dimanche où nous serons en repos. Sans oublié le « Tea time » tous les matins à 10 heures bien sûr ! Un moment immanquable pendant lequel toute la famille est là, à blaguer, rire… Bref une ambiance géniale !

Nous avons notre propre logement, 3 fois plus grand que notre 2 pièces à Auckland, à côté de leur domicile. Ils ont également beaucoup d’arbres fruitiers et les instructions de Sue sont claires : mangez tout ce que vous pouvez! Clémentines, oranges, prunes, pommes,… et bien sûr myrtilles !  Nous sommes au paradis !

Entre travail & découvertes

Nos horaires de travail sont flexibles, nous avons la possibilité de travailler toute une journée et avoir un jour de repos le lendemain. Ceci nous a permis de visiter de magnifiques lieux comme la plage de « Matauri Bay » et d’y faire du Body-board, « Cape Reinga » (Cap le plus au Nord de la Nouvelle-Zélande »), « Giant Te Paki Dunes » où nous avons fait du Sand Board, « Waipoua Forest » où nous avons vu des arbres énormes ! Et bien d’autres lieux magiques comme « Rainbow falls » à Kerikeri.

Nous avons également partagé notre passion de la cuisine avec nos hôtes et leur avons cuisiné quelques plats français. Nous avons même concocté des cocktails avec leurs myrtilles !

La rencontre de familles extraordinaires

Après 10 jours passés auprès de cette famille extraordinaire, nous avons mis le cap sur la Bay of Plenty, à Opotiki. Kelly, notre deuxième hôte, tient une ferme avec des vaches, moutons, chevaux, lamas et chèvres, sans oublier son chien « Sadou » et son chat « Tom ». Une ferme du bonheur ! Durant une semaine nous avons taillé des herbes hautes, jardiné, terrassé le chemin qui mène à sa ferme, nettoyé sa voiture, …

Nous étions logé dans une cabane avec une vue incroyable sur la mer, en pleine nature. Un lieu véritablement ressourçant et apaisant. Kelly nous a même appris à monter à cheval sans selle, une expérience que nous ne sommes pas prêts d’oublier !

« Une nouvelle fois, l’accueil kiwi nous a surpris »

Nous avons ensuite pris la direction de « Hawkes Bay », à Hastings où Glenn et Ingrid et leur mignon petit chien Bobo nous attendaient. Ils ont une exploitation de pommes. Nous sommes arrivés un dimanche soir et une nouvelle fois, l’accueil kiwi nous a surpris. C’est incroyable la facilité qu’ils ont à nous mettre à l’aise, nous faire nous sentir chez nous dès le premier instant ! En quelques jours, Ingrid et Glenn sont devenus comme des parents kiwis pour nous ! Nous étions logés dans leur maison et avions notre propre salle de bain. Nous travaillions de 8 h à midi avec également le fameux « Tea Time » à 10 h tous les jours.

Nos tâches étaient très variées car Ingrid et Glenn ne voulaient pas que nous nous « ennuyions».  Nous avons donc travaillé sur l’exploitation de pommes, lavé leur voiture,  fait la cuisine, un peu de ménage,…

Ils nous ont conseillé sur toutes les visites à faire dans la région et nous ont prêté des cannes à pêche et des vélos. Nous avons même rencontré leurs amis et leur famille, et partagé avec eux des expériences inoubliables telles qu’un vol au-dessus d’Hawkes Bay et une pêche en mer!

Grâce au réseau HelpX, nous avons vécu des moments uniques et avons rencontré des familles ouvertes au partage de leur métier, de leur foyer, de leur table, de leur quotidien, … et cela n’a pas de prix ! Ce concept a été pour nous le meilleur moyen de vivre l’aventure néo-zélandaise.


COMMENT RÉUSSIR SON HELPX? LES ASTUCES DE NOÉMIE & ROMAIN

  • Pensezà compléter votre profil en détail en y intégrant des photos et une description de vous, le tout dans un anglais correct !

  • Filtrez les annonces ayant des « Reviews » (avis d’autres « helpers », un peu comme le principe de Trip Advisor) avant d’éviter les mauvaises surprises

  • Contactez plusieurs hôtes à la fois afin d’augmenter vos chances de recevoir une réponse positive. Essayez cependant de personnaliser vos messages !

  • Anticipez vos demandes afin d’optimiser vos chances ! (2 semaines minimum)

  • Lors de vos échanges par email, SMS, appels avec vos futurs hôtes, pensez à demander quelles seront vos tâches, le nombre d’heures travaillées par jour...

  • Une fois sur place : Profitez ! Passez un maximum de temps à discuter avec votre « famille d’accueil » !

Qu’est-ce que le HelpX ?

Le HelpX (Help Exchange) est un réseau d'hôtes présent dans de nombreux pays basé sur l’échange de quelques heures de travail par jour contre le gite et le couvert, avec une expérience humaine a la clé ! 

Les sites d’accueil de « Helpers » sont généralement des fermes (organiques ou non), des auberges de jeunesse, des lodges, des Bed & Breakfasts, des voiliers, des familles avec enfants … Ils accueillent des « Helpers » qui seront logés et nourris en échange d’un travail bénévole de 4 à 6 heures par jour. Les jobs, le nombre d’heures travaillées ainsi que les jours de repos sont propres à chaque hôte. Cette façon de voyager permet d'expérimenter de nouvelles activités, de découvrir de nouvelles régions tout en économisant, de partager le quotidien de famille néo-zélandaise et la plupart du temps de tisser de vrais liens avec les hôtes.

 

Vous aussi vous souhaitez obtenir un Working Holiday Visa et visiter la Nouvelle-Zélande en faisant du Help X? Consultez dès maintenant notre dossier sur le Working Holiday Visa en cliquant ici.