Etudier à l’étranger est toujours l’occasion unique de découvrir une nouvelle culture, faire de belles rencontres et se dépasser ! C’est exactement ce qui s’est passé pour Malo, jeune français venu passer un semestre au Sacred Heart College d’Auckland en Nouvelle-Zélande. Une très belle expérience humaine dont il garde de merveilleux souvenirs… Il nous raconte cette belle aventure dans cet article.
Si vous êtes résident(e) néo-zélandais(e), vous pouvez vivre et travailler en Nouvelle-Zélande comme bon vous semble, ou encore voyager hors du pays et y revenir en tant que résident jusqu’à une certaine date. En clair, vous pourriez perdre ce statut de résident au bout d’un certain temps si vous n’obtenez pas le statut de résident(e) permanent(e).
Alors comment devenir résident(e) permanent(e) ? Au bout de combien de temps est-il possible d’en faire la demande ? Sous quelles conditions ? Combien cela coûte t’il ? On répond à toutes vos questions dans cet article !
Si vous souhaitez voyager en Nouvelle-Zélande et en profiter pour tester votre profil sur le marché de l’emploi, il est possible que vous puissiez rentrer sur le territoire en tant que visiteur. En fonction de votre pays d’origine, vous bénéficierez peut-être d’une exemption, vous permettant de venir en Nouvelle-Zélande, sans avoir à faire de demande de visa visiteur
Le gouvernement Néo-Zélandais met en pause l’augmentation du median wage qui était prévue pour Février 2024 pour les demandeurs de visas Accredited Employer Work Visa (AEWV). Une pause qui ne concerne pas d’autres catégories de visas telles que les visas Skilled Migrant Category, residency et Parent Category. New Zealand Services fait le point avec vous dans cet article.
De nombreux visas de résidence ont été accordés par l’immigration il y a près de deux ans, ce qui signifie que de nombreuses personnes vont bientôt être éligibles à la résidence permanente. Si tel est votre cas, vous vous demandez certainement comment faire cette démarche afin d’obtenir le statut de résident permanent en Nouvelle-Zélande. Bonne nouvelle : ce processus se fera désormais en ligne à partir de fin Janvier 2024. On vous en dit plus dans cet article et on en profite pour refaire le pont sur l’éligibilité à la résidence permanente en Nouvelle-Zélande.
Le site Stats NZ vient de publier un rapport concernant une perte migratoire nette record de 44 700 citoyens néo-zélandais au cours de l'année 2023. Selon les estimations du site de statistiques néo-zélandais, la grande majorité de ces départs de citoyens se seraient dirigés vers l’Australie.
De nombreux articles d’actualités traitent de ces départs de néo-zélandais vers l’Australie. Les raisons évoquées par les kiwis pour expliquer leur changement de pays : l’attrait pour de meilleurs salaires, un meilleur style de vie, des impôts moins élevés et un climat chaud.
Les résidents et citoyens néo-zélandais souhaitant soutenir leur partenaire étranger dans une demande de visa en Nouvelle-Zélande, se retrouvent parfois confrontés à des difficultés pour prouver leur relation. Les critères d’évaluation de l’immigration, dominés par l’importance d’une vie commune, posent des défis importants aux couples qui s’efforcent de prouver l’authenticité et la stabilité de leurs relations. Le processus s’avère encore plus compliqué si vous souhaitez faire venir votre partenaire de l'étranger. Quel que soit votre situation, préparez-vous : le processus n'est peut-être pas aussi simple que vous l'espérez ! Nous faisons le point dans cet article !
Lorsque l’on a pour projet de s’expatrier en Nouvelle-Zélande, les démarches peuvent sembler intimidantes. En plus d’un déménagement dans un pays étranger et de trouver un nouvel emploi, vous devez réaliser une demande de visa adapté à votre situation. Être en règle au regard de l’immigration néo-zélandaise est primordial mais l’ensemble des démarches nécessaires pour y parvenir prend du temps et peut générer beaucoup d’inquiétude. En cas d’erreur ou d’oubli de votre part, votre demande de visa peut être refusée. C’est pourquoi l'aide d'un conseiller en immigration agréé peut réduire considérablement le stress pendant le processus d'immigration et vous aider à avoir l'assurance que votre demande est correcte.
De la simple évaluation de votre projet d’expatriation à la gestion de votre demande de visa, notre équipe de conseillers en immigration agréés peut vous aider dans votre processus d'immigration.
Le gouvernement néo-zélandais vient d'annoncer que dix-sept nouvelles professions avaient été ajoutées à la “Green List“, la liste des métiers en demande en Nouvelle-Zélande. Cette mesure visant à soutenir davantage les entreprises néo-zélandaises face à la pénurie mondiale de main-d'œuvre et à attirer davantage de travailleurs hautement qualifiés sur le long terme.
Les travailleurs migrants bénéficient des mêmes droits en matière d'emploi que les travailleurs néo-zélandais. Si vous ou toute autre personne sur votre lieu de travail est exploitée, le Ministère de l’emploi vous encourage à le signaler dans les meilleurs délais.
Dans cet article, nous vous aidons à identifier les situations considérées comme des violations des droits des travailleurs migrants et surtout comment procéder pour faire valoir vos droits, vous protéger et rester légalement en Nouvelle-Zélande si vous arrêtez de travailler pour un employeur qui ne respecte pas vos droits.
Pour vivre en Nouvelle-Zélande de façon permanente, vous avez besoin d'un visa de résident. Il existe un certain nombre de voies pour obtenir un visa de résident, dont beaucoup commencent par un visa temporaire vous permettant de travailler, d'étudier ou de posséder une entreprise en Nouvelle-Zélande.
Dans cet article nous vous présentons les trois grandes voies pour accéder à la résidence en Nouvelle-Zélande. Vous pourrez devenir résident(e) par le biais de vos compétences professionnelles, par le biais de vos relations familiales ou amoureuses et enfin par le biais de vos investissements en Nouvelle-Zélande.
Si vous êtes résident(e) néo-zélandais(e), vous pouvez vivre et travailler en Nouvelle-Zélande comme bon vous semble, ou encore voyager hors du pays et y revenir en tant que résident jusqu’à une certaine date. En clair, vous pourriez perdre ce statut de résident au bout d’un certain temps si vous n’obtenez pas le statut de résident(e) permanent(e).
Alors comment devenir résident(e) permanent(e) ? Au bout de combien de temps est-il possible d’en faire la demande ? Sous quelles conditions ? Combien cela coûte t’il ? On répond à toutes vos questions dans cet article !
Le gouvernement néo-zélandais vient d’annoncer des changements concernant le nouveau système de visa de travail en Nouvelle-Zélande. À partir de Novembre 2023, les travailleurs étrangers qui ne sont pas éligibles à une voie de résidence, ne pourront rester en Nouvelle-Zélande que 5 ans maximum en continu avec leur visa de travail d'employeur accrédité (AEWV).
L’immigration néo-zélandaise vient d’annoncer l’introduction d’un nouveau système de points simplifié pour le visa de résident dans la catégorie Skilled Migrant (SMC), à partir du 9 Octobre 2023. Avec cette nouvelle approche, l’immigration souhaite offrir un chemin de résidence plus rapide aux personnes occupant des postes hautement qualifiés, ainsi qu’un chemin de résidence plus clair aux autres candidats éligibles, s'ils travaillent pendant une certaine période en Nouvelle-Zélande. Ces changements offrent plus de certitude aux migrants et aux employeurs quant à savoir qui peut venir en Nouvelle-Zélande pour travailler temporairement et qui peut rester de manière permanente.
A partir du 31 Mai 2023, les conditions de visa Partenaire vont changer. Les personnes qui réalisent une nouvelle demande à partir de cette date devront travailler pour un employeur accrédité et être payées au moins au salaire médian. Ces changements font partie du plan du gouvernement néo-zélandais pour rééquilibrer le système d'immigration vers une économie à productivité plus élevée et à salaires plus élevés. Les employeurs sont encouragés à avoir d'abord recours à la main-d'œuvre locale et à réduire leur dépendance à l'égard des migrants pour des postes moins qualifiés et moins bien rémunérés.
Depuis Octobre 2019, les voyageurs aériens de 60 pays, dont la France, doivent posséder un “Electronic Travel Authority” (NZeTA) avant de se rendre en Nouvelle-Zélande. Il s’agit d’une autorisation délivrée en ligne qui a notamment pour but de renforcer la sécurité du pays.
Vous êtes nombreux à vous interroger sur cet NZeTA : qui est concerné ? Dans quel cas ? Comment l’obtenir ? Nous avons donc décidé de rassembler vos questions les plus courantes dans cet article et de vous apporter toutes les réponses !
Le gouvernement néo-zélandais vient d'annoncer que 32 nouveaux rôles dans le domaine de la santé avaient été ajoutés à la “Green list“. Autre annonce importante : tous les rôles de santé de la “Green list“ ont été déplacés dans la catégorie “Straight to residence“.
Ces mesures ont pour objectif de renforcer la force de travail dans le secteur médical, qui comme beaucoup d’autres connaissent une importante pénurie en Nouvelle-Zélande.
Bien que les entreprises soient encouragées à embaucher des travailleurs néo-zélandais en priorité avant d’envisager embaucher des travailleurs migrants, il souvent difficile pour les employeurs de trouver de la main d’œuvre locale. Si un employeur néo-zélandais cherche à recruter et qu’il ne trouve aucun profil approprié en Nouvelle-Zélande pour le poste, il devra obtenir une accréditation auprès de l’immigration néo-zélandaise pour embaucher des travailleurs étrangers.
Comme vous le savez peut-être déjà, si vous avez pour projet de venir vivre et travailler en Nouvelle-Zélande, avec un visa de travail, vous devrez trouver un emploi auprès d’une entreprise accréditée. En effet, depuis Juillet 2022, les employeurs néo-zélandais souhaitant recruter des travailleurs migrants doivent bénéficier d’une accréditation de l’immigration. Pour vous, futurs expatriés, cela signifie que vous ne pouvez travailler que pour ces entreprises dites “accréditées”, avec un Accredited Employer Work Visa (AEWV).
Le cyclone Gabrielle et les récentes inondations ont causés de nombreux dégâts aux particuliers et aux entreprises de l'île Nord de la Nouvelle-Zélande. Pour aider à la reprise, le gouvernement a annoncé le lancement du Recovery Visa (un visa de travail à but spécifique). Ce visa de courte durée permettra aux employeurs de parrainer des migrants pour qu'ils viennent en Nouvelle-Zélande pour travailler sur des missions d’intervention d'urgence.
Le pays connaît toujours des pénuries de main d’œuvre et a notamment besoin de spécialistes étrangers tels que des ingénieurs, des techniciens et des évaluateurs d'assurance pour soutenir les experts néo-zélandais sur le terrain.
Complexification des procédures, préférence de la main d’œuvre locale, durcissement des lois de l’immigration… Il n’est pas toujours évident de s’y retrouver parmi les méandres de l’immigration néo-zélandaise et l’obtention d’un visa de travail peut sembler quasiment impossible.
Si obtenir un visa en Nouvelle-Zélande n’est pas toujours un long fleuve tranquille, il est encore possible de s’expatrier au pays du long nuage blanc et d’y travailler. Nous vous aidons à y voir plus clair à l’aide d’une infographie, accompagnée d’informations complémentaires !
Le Ministre de l'Immigration, Michael Wood, vient d’annoncer une série de mesures visant à soutenir davantage les entreprises néo-zélandaises face à la pénurie mondiale de main-d'œuvre et à attirer davantage de travailleurs hautement qualifiés sur le long terme. « Le monde entier connaît des pénuries de main-d'œuvre en ce moment. Depuis la réouverture de nos frontières, le gouvernement a pris un certain nombre de mesures pour aider les entreprises à recruter à l'international pour combler ces pénuries », a déclaré Michael Wood.
Le visa de résidence dans la catégorie “parent” a ré-ouvert le 12 Octobre 2022. La sélection des “Expressions of Interest“ reprendra le 14 Novembre 2022 et le nombre de visa accordé chaque année augmentera de 1000 à 2500. Autre bonne nouvelle, l’immigration annonce que les critères financiers demandés aux “sponsors” (c’est-à-dire les enfants des parents qui souhaitent réaliser cette demande de visa) seront désormais moins stricts.
